Vos riches commentaires m'encouragent à vous proposer une suite

à tout ce que nous avons appris sur Saint Sébastien.

Vos commentaires apportant de nouveaux éléments.

Par chez nous, Sébastien est tant représenté, que j'avais envie d'en savoir un peu plus.

Vous m'avez bien aidé.

Envie de partager aussi.

Je peux proposer trois angles d'approche.

- Saint Sébastien

- Sainte Irène de Rome .... † autour de 288 après JC 

- Georges de la Tour né à Vic sur Seille

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Une récente photo prise dans l'abbaye d'Étival Clairefontaine.

Oui, le " Étival " des papiers Clairefontaine, dans le département des Vosges.

Ce Sébastien ne montre pas son bras levé.

Mais il est bien attaché, liens en cordes.

C'est Jazzy 57 qui a attiré notre attention sur ce qui suit.

" ici ".

 Sainte Irène de Rome a soigné les plaies faites par les flèches.

Tableau de Georges de la Tour.

Un des spécialistes du clair obscur.

Phrasie pense que Sainte Irène prends le pouls de Sébastien.

Le tableau ci-dessous, une copie ou un original?

" .... Cette toile de Georges de La Tour découverte en 1945 à Bois Anzeray et acquise par le Louvre fit polémique. Auparavant, on avait considéré comme original l’exemplaire conservé au musée de Berlin, puis, après de multiples examens et quelques querelles d’experts, on finit par penser que cette dernière devait n’être qu’une copie extrêmement fidèle. Ce phénomène n’a rien de nouveau. Bien des peintres recopièrent leurs œuvres, parfois pour contenter un commanditaire. Il faut aussi compter avec des copies excellentes d’artistes anonymes contemporains, voire d’élèves d’ateliers " ....

Une copie ancienne de l'original peint pour Louis XIII.

Une autre bonne copie se trouve à Orléans.

Irène opère sans peur et avec adresse.

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Ci-dessous, retour vers mon passé.

Autour des années 60 - 70.

Ma grand mère paternelle, celle du Nord, sachant que j'ai commencé

une collection de timbres, m'offre ceci.

Anatomie de la naissance d'un timbre et sa colorisation.

Du Georges de La Tour. Timbre de 1966.

Une nativité.

À vos collections de timbres pour vérification :-))

Pas trop loin de Strasbourg, il y a un musée Georges de La Tour.

À Vic sur Seille.

À l'Est de Nancy.

C'est ici que fut baptisé le peintre Georges de la Tour le 14 mars 1593.

Et pour cette vallée de la Seille, il faudrait que je vous parle un jour de ses armoires anciennes.

En chêne clair. C'est plus à mon goût que les armoires trop sombres. 

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Lundi 29-04 à 16 h, Michel m'envoie une photo de l'église de Landser.

Je pense que vous arriverez à décoder.

Saint Sébastien un bras levé et attaché.

Une dame se penche sur ses blessures, Irène, peut être ....

Et Ménalque nous parle d'un casque sur certains tableaux.

Le casque de chef des archers.

Peut être le gilet cuirasse aussi.

Comme ci dessus.

Les archers qui ont tiré des flèches, et ont visé des zones non mortelles sur leur chef.

Je ne connais ce gâteau que depuis deux trois ans.

Je l'achète en passant à Rosheim.

Deux boulangeries le font.

Pourquoi ne pas essayer de le faire soi-même?

Je vous propose quelques photos.

Recettes sur internet.

Souvent ils partent de 500 g de farine.

Moi, c'est 250 g poussé à 350 g.

La base semble être une brioche, selon les régions,

vous avez déjà l'habitude de l'utiliser avec d'autres " appareils ".

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Les levures à hydrater, la première opération à faire.

Il faut un peu de temps.

Sur la gauche, dans le verre utile, 1 dl lait tiède et 1/2 cube de levure de boulanger 1 sucre.

À délayer.

Laisser buller les levures. Ça fait de la mousse.

Une fois les levures réveillées, rajouter le contenu du verre doseur dans la pâte en devenir.

J'ai essayé avec de la levure lyophilisée, ça lève moins bien.

Pour la pâte.

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350 g Farine, 2 œufs entiers, pincée sel, 60 g sucre, 80 g beurre mou, le tout à pétrir.

J'ai suivi une recette qui proposait 250 g de farine.

J'ai poussé à 350 g. 

Du coup, j'ai augmenté un peu les autres ingrédients.

Dans l'idéal, il faudrait que la pâte ne colle plus aux doigts.

Fleurer avec un rajout de farine, s'il le faut.

J'aime bien fleurer, même si ce n'est pas le mot juste ....

Pâte à laisser lever 2 heures.

 Une fois la pâte levée, 2 heures, on la retourne sur une tôle

protégée par du papier sulfurisé ou autre système.

Puis arrive le geste technique :-))

Celui de "ropfen ".

Signifie " arracher - déchirer ", un truc comme ça.

Par exemple, on " ropf " les mauvaises herbes dans le jardin.

Ropfen donne son nom au gâteau, le " ropfkuchen ".

Je le montre en vidéo-gif.

Puis c'est reparti pour que la pâte lève une deuxième fois, 1 heure ou plus.

Là, je l'avais un peu oubliée, elle a bien levé.

 C'est avec le pouce qu'on peut faire les futurs puits de gourmandise.

Avec le pouce ou tous les doigts, si on est pressé ....

Maintenant, on recouvre d'un appareil.

Il doit être possible de réduire les quantités de sucre. Et autres choses. À tester.

Petite C à Café de Cannelle, 150 g chucre semoule, 100 g de noix pas trop moulinées, il faut qu'il reste de petits morceaux.

Pareil pour les amandes ou les noisettes, 100 g, pas hyper moulu.

Des morceaux donnent de la mâche et du goût.

De la crème épaisse, 100 g, détendue par une cuillère de lait.

Bon, ça reste assez calorique.

La tendance est de désucrer, dégraisser, etc.

Dorer les bords à l'œuf, ceux qui ne seront pas recouverts par l'appareil gourmand.

Cuisson 35 mn environ, autour de 180 °

Une fois tiède ou froid, on découpe selon humeur.

Et là, ci dessous, on peut voir 3 puits de gourmandise.

Si on veut en faire plus, augmenter les doses pour avoir assez d'appareil.

Vous avez peut être aussi une recette que vous vous êtes appropriée ces dernières semaines?

Pour l'apéro de Pâques, Mme Yann a fait un essai, transformé.

Sur le principe du gateau chinois.

Ou gâteau escargot.

Proposé par Leïla Martin. > " ici ".